Selon le site mirataljazeera, convaincante est la description de la situation des droits de l'homme en « Arabie saoudite » comme suit : « ce qui est caché est plus grand ». Les chiffres suivis par les organisations des droits de l'homme soucieuses de suivre le dossier des détenus ne sont qu'un faible indice d'une réalité plus tragique que le régime saoudien contrôle contre les peuples indigènes de la terre.
Une source, qui a refusé de révéler son nom ou de révéler des détails, a révélé que cinq détenus avaient été condamnés à des peines définitives. Dans les détails limités disponibles, "Muhammad Ali Al-Shaqaq, Mansour Samir Al-Hayek, Marzouq Muhammad Dhaif Al-Fadl et Raad Muhammad Dhaif Al-Fadl" ont été condamnés à mort, en plus de 27 ans de prison pour le détenu Ali Radhi Mansour Al-Hayiki.
Il a été mentionné que tous les détenus mentionnés ont passé 7 ans en prison à ce jour. Cette information vient confirmer ce qui est certain, et accorder au régime saoudien le prix du régime le plus criminel de la face de la terre, puisque ce dernier organise désormais des festivals et distribue des prix artistiques dans le cadre d'une prétendue "ouverture".
Avec cette nouvelle, le nombre de personnes menacées de mort est passé à au moins 63 détenus, après que l'Organisation euro-saoudienne des droits de l'homme a documenté plus tôt ce mois-ci que le régime saoudien avait prononcé des condamnations à mort disciplinaires contre : Muhammad Al Tahnoun, Mustafa Abu Shaheen et Abdullah Ghazwi, dans le cadre d'un procès collectif avec les personnes menacées de mort, Zuhair Al Samkhan, Muhammad Al Mesbah et Rida Al Shayeb, portant le nombre à l'époque à 59 menaces de mort.
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